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La grippe A (H1N1)
Dossier préparé par :
Dr Jean-François Pépin, B.Sc, DC
(Biologiste médicale et chiropraticien)

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À vous qui êtes importants à mes yeux,
J’utilise aujourd’hui ma plume dans l’unique but de vous expliquer mon choix face à la
vaccination H1N1. Mon seul intérêt dans ce dossier est de vous sensibiliser le plus
objectivement possible sur ce sujet très controversé et d’utiliser des principes
immunologiques et biochimiques qui justifient ma décision.
À l’heure actuelle, des milliers de pages sont écrites tous les jours dans le monde pour
inciter les gens à se faire vacciner. Très peu d’avis du camp du NON (autre que celui de
campagne de conspiration) ont l’honneur de se retrouver à l’intérieur de ces médias.
Pourtant, des centaines d’experts s’époumonent pour dénoncer les risques de cette
vaccination, et cela, en risquant même de perdre leur emploi. Imaginez ce que cela serait
si la liberté d’expression et la démocratie régnaient réellement. De mon côté, étant
Biologiste médicale et Docteur en chiropratique depuis 6 ans, je n’ai pas cette pression
médicale qui m’oblige au silence. Je peux donc me permettre de vous dévoiler certains
concepts qui motivent mon choix de ne pas me faire vacciner.
Depuis quelques semaines, je fais de mon mieux pour répondre aux questions de mes
patients et des parents et amis sous forme de conférences, de textes ou d’envoi de
courriels et je réalise malheureusement que mon message se perd rapidement sous la
pression médiatique qui est omniprésente actuellement. J’ai donc décidé d’écrire cet
unique courriel qui tente de faire une synthèse des livres que j’ai lu sur la vaccination, des
conférences que j’ai assisté au cours des 10 dernières années, des site web que j’ai visités
pour satisfaire ma soif de mieux comprendre et de consentement éclairé et des audios et
vidéo-conférences qui sont disponibles gratuitement par Daily Motion ou You Tube et
qui révèlent des faits surprenants sur la vaccination en générale.
Pourquoi je ne me ferai pas vacciner
1. La composition du vaccin H1N1 est toxique pour mon organisme
2. Ce vaccin pourrait conduire à des effets secondaires graves et indésirables
3. Les études d’efficacité et d’innocuité de ce vaccin ne sont pas encore terminées
4. Il n’y a pas, à ce jour, de pandémie de grippe H1N1
5. Les vaccins antigrippaux n’ont jamais démontré leur efficacité
6. Je veux éviter de participer à une mutation virale dangereuse qui pourrait conduire à
une épidémie contre laquelle aucun médicament ou vaccin n’existe
7. Je désire accroître naturellement mon système immunitaire
8. Je crois au potentiel inné de mon pouvoir d’auto-guérison
9. Je suis pour la liberté de choisir ma santé
De plus amples explications… à la page suivante.
PS Je vous invite à faire vos propres recherches et à ne pas vous fier uniquement aux
informations contenues dans ce texte. Allez explorer un peu de votre côté afin de prendre
une décision éclairée face à votre santé. Bonne lecture!

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Avant de débuter la description de chacun des points qui explique mon refus vaccinal,
explorons la pensée et le paradigme-santé de la population québécoise.
A- Nous CROYONS que les vaccins sont sans dangers (voir page 3, 4 et 5)
Tout comme nous avons cru et défendu que la cigarette n’avait aucun lien avec
l’augmentation des risques de cancer au cours du siècle dernier.
B- Nous CROYONS que les vaccins nous protégeront des infections
Individu vacciné ≠ Individu protégé. En fait, il existe des bons, des moyens et des non-
répondeurs à un même vaccin.
C- Nous CROYONS que les vaccins sont la cause de la fin des grandes épidémies de
maladies infectieuses (voir Annexe 6 et 10)
La fin des grandes épidémies s’explique par l’amélioration de l’hygiène de vie et de la
qualité de l’eau au cours des 50 dernières années. Rien à voir avec la vaccination.
D- Nous voulons vraiment CROIRE que notre médecin a lu toute l’information
disponible des « pour » et des « contre » et qu’il nous délivre la vérité ultime sur la
vaccination
Il n’a pas le temps de lire les livres qui traite de la vaccination. Il n’a pas le temps non
plus de lire les articles scientifiques qui lui sont couramment apportés. En général, il se
fie aux représentants pharmaceutiques pour décider quoi prescrire et de son curriculum
universitaire peu exhaustif en immunologie pour éclairer les gens face à la vaccination.
De toute manière, il est un spécialiste de la maladie et non de la prévention. Bref, il fait
de son mieux.
E- Nous sommes CONVAINCUS que la santé est le plus grand objectif des
compagnies pharmaceutiques
La vaccination coûtera 4 milliards à la société canadienne cette année (une augmentation
de 10%/année). Le coût de la vaccination/enfant était de 10$ en 1975, de 385$ en 2001
et sera à 1 225$ en 2020. Notre santé est-elle de plus en plus mauvaise? OU BIEN... La
vaccination est-elle une entreprise fortement lucrative?
Continuer votre lecture en page 3 pour en apprendre davantage sur le monde de la
vaccination.

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1. La composition du vaccin H1N1 est toxique pour mon organisme
(Voir Annexe 1 pour l’ensemble des composantes des vaccins et leurs caractéristiques)
Composition du vaccin H1N1 :
- Eau
- Chlorure de sodium, de magnésium et de potassium
- Embryons d’oeufs de poulet : Permet la croissance virale
- Formaldéhyde : Participe à l’inactivation du virus
- Produit utilisé pour l’embaumement des cadavres
- Produit carcinogène. Toxicité gastro-intestinale ou hépatique, toxicité immunitaire et
neurologique, toxicité du système reproducteur, toxicité respiratoire et sensorielle.
- Un des composés les plus dangereux pour l’écosystème et la santé humaine
Caractéristiques du FED (Environmental Defense Fund) et du MME (Mosby's Medical Encyclopedia)
- Octoxynol 10 (Triton X-100) : Évite la contamination du vaccin
- Produit utilisé dans certains détergeants
- Peut provoquer déshydratation, cancer et hypoxie
http://www.curehunter.com/public/keywordSummaryD017830-Octoxynol-Triton-X-100.do
- Mercure (Thimerosal) : Évite la contamination du vaccin
- Produit dérivé du mercure qui est utilisé dans les thermomètres
- Toxicité du développement. Toxicité par contact avec la peau ou les organes des sens.
Danger pour la vie.
Caractéristiques du FED (Environmental Defense Fund) et du MME (Mosby's Medical Encyclopedia)
Il est faux de dire que le contenu en mercure des vaccins est moindre que celui retrouvé
dans certains poissons. L’ingestion et l’injection n’est pas dutout le même phénomène.
Si on injectait la composition d’une cigarette dans le sang de n’importe quel humain, il
mourrait sur le champs. Pourtant, certaines personnes fument 1 paquet par jour pendant
des années sans problème aussi drastique.
Le mercure est de plus en plus lié à l’autisme par plusieurs études scientifiques de
grandes envergures (voir Annexe 2).

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- Antibiotique : Évite la contamination bactérienne dans le vaccin
Exemples : Streptomycine, néomycine, sulfate de gentamicine ou polymyxine
- Adjuvant : Potentialise l’impact de l’antigène pour stimuler la réponse immunitaire.
Diminue les coûts de production des vaccins car nécessite moins d’antigène
par dose vaccinale
** Au Québec, l’adjuvant est le AS03 = Polysorbate 80 + Squalène
- Polysorbate 80 :
Substance utilisée comme surfactant et comme émulsifiant. On la rencontre aussi dans
le secteur alimentaire en tant qu’additif (noté comme E433). Le polysorbate est toxique
lorsqu’il est ingéré, inhalé ou mis au contact de la peau. Il peut générer les troubles
suivants:
- Altération du sommeil
- Perturbations du rythme cardiaque
- Irritation cutanée et oculaire
- Allergies
- Possiblement cancérigène
http://stop-gardasil.over-blog.com/article-21221501.html
http://en.wikipedia.org/wiki/Tween_80
- Squalène :
Lipide naturellement produit par tous les mammifères et intermédiaire essentiel à la
synthèse du cholestérol, des stéroïdes et de la vitamine D.
Lorsque le squalène est introduit par injection dans lorganisme, le corps peut le
reconnaître comme étant du non-soi et inciter alors le système immunitaire à l’attaquer.
Malheureusement, il arrive parfois que le corps n’arrive plus à différencier celui produit
naturellement par l’organisme à celui injecté avec le vaccin. Il s’ensuit donc une
destruction importante des squalènes partout où il s’y trouve, y compris les endroits où il
s’est introduit naturellement et où il est indispensable au bon fonctionnement du système
nerveux.
Plusieurs experts affirment que ce squalène a été responsable du Syndrome de la Guerre
du Golfe en 1991 lorsque 696 000 injections d’un vaccin avec squalène ont été
administrées obligatoirement à tous les soldats partant pour la guerre en Irak.
Résultat : 80 000 maladies répertoriées de dégénérescence neuronale sévère
Gary MATSUMOTO : « Vaccine A : The Covert Government Experiment that’s killing Our Soldiers and why GIs are Only the first Victims »
Recherche : Une seule injection de squalène chez le rat déclenche "une inflammation
chronique du système immunitaire spécifique aux articulations, qu’on
appelle polyarthrite rhumatoïde"
- American Journal of Pathology, 2000

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2. Ce vaccin pourrait conduire à des effets secondaires graves et
indésirables
Deux formes de protection nous permettent d’éliminer les métaux lourds retrouvés dans
les vaccins. L’excrétion par la bile qui débute à l’âge de 6 ans et la barrière hémato-
encéphalique qui filtre le passage des substances vers le cerveau et qui termine sa
formation à l’âge de 18 ans. Pour les enfants de 6 ans et moins, aucune élimination de
ces neurotoxines n’est donc possible.
Ces métaux lourds et toxiques s’accumulent dans l’organisme et augmentent le risque de
mort neuronale prématuré et de bris des interconnexions entres les neurones. C’est
pourquoi plusieurs experts font le lien entre l’aluminium retrouvé dans certains vaccins et
les maladies d’Alzheimer et de Parkinson et entre les taux de mercure élevés et l’autisme.
D’ailleurs, aux États-Unis, on note une augmentation massive de l’incidence de l’autisme
depuis le début des vaccinations massives.
Voici quelques statistiques intéressantes sur ce sujet :
1950 : un cas pour 10 000
1970 : un pour 2 000
1996 : un pour 500
2000 : un pour 250
2003 : un pour 147
Certains chercheurs affirment que ces statistiques sont dues à de meilleures méthodes
diagnostiques. Pourtant, l’autisme n’est pas une maladie mortelle et les personnes qui en
sont atteintes peuvent vivre jusqu’à un âge avancé. Devrions-nous donc pas retrouver
plusieurs adultes autistes autour de nous? Pour ma part, je n’en connais aucun. Et vous?
- Quelques autres statistiques :
- Aux USA : On comptait tout près de 500 000 autistes en 2003
- 55% des familles avec un enfant autiste disent que leur enfant a débuté sa maladie
suite à une injection de RRO (rubéole, rougeole, oreillons) et 33% suite au DPT
(diphtérie, polio, tétanos)
- 96% des autistes ont le virus de la rougeole dans leur intestin (la souche provenant
du vaccin) – Entérocolite autistique
Voir vidéo « Silence on vaccine »
- Dr Andrew Wakefield, MD
- Exemple des Amishs (du comté de Lancaster en Pennsylvanie)
Si on se fie au taux national d’autisme aux États-Unis, nous devrions retrouver 130
enfants autistes dans la communauté Amishs. Aucun des enfants Amishs ne sont
vaccinés.
Résultat : Seulement 4 des enfants sont autistes : - 3 ont été adoptés et sont vaccinés
- 1 a été exposé à des taux de Me
Des centaines de recherches démontrent le lien entre l’autisme et le mercure présent dans
les vaccins (voir Annexe 2).

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Effets secondaires à long terme
Le problème majeur réside dans le fait que le vaccin est administré directement dans la
circulation sanguine et qu’il ne respecte pas les différentes barrières physiologiques (nez,
gorge, poumons, peau). Cela a pour conséquence de créer une pénétration plus profonde
des virus dans les tissus. Les virus entrent alors en période de latence et sont relargués
dans la circulation sanguine plusieurs années après l’injection. Au cours de cette période,
les risques de mutations sont élevés, ce qui peut amener un relargage des virus sous une
forme très différente. Il n’existe alors aucun lien possible à faire avec le vaccin initial et
aucune preuve du lien causal entre le vaccin et la maladie nouvellement diagnostiquée.
En vaccinant, on voit une augmentation des risques de maladies auto-immunes telles
que :
- Diabète type I
- Maladie de Crohn
- Thyroïdite d’Hashimoto
- Arthrite rhumatoïde
- Lupus érythémateux
- Leucémie
- Psoriasis
- Sclérose en plaque
« Les maladies du système immunitaire sont plus fréquentes dans les nations qui font un
grand usage de vaccins »
- Journal of Surgery and Medecine, juin 1996
Selon le Dr Andrew Moulden, MD et expert en neuro-psychiatrie :
« Toutes les vaccinations provoquent directement ou de manière différée des
troubles et des maladies aiguës ou chroniques, permanentes ou transitoires
susceptibles de toucher tous les systèmes du corps. »
- Principe :
- Vaccination
- Hyper-réactivité du système immunitaire
- Production de globules blancs
- Obstruction des capillaires par les globules blancs
- Diminution de l’oxygénation au site touché
- Attaque cérébrale, problème hépatique et/ou rénale
- Autisme, Syndrome de la Mort Subite du Nouveau-Né, maladies
hépatiques, etc,
www.brainguardmd.com

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Décompte des effets secondaires
Le FDA estime que les médecins reportent seulement 10% des réactions secondaires des
vaccins
- Aux USA : 11 000 cas reportés / année
- Ce qui équivaut donc à 110 000 cas / année!
Et cela, à l’intérieur seulement des 10 jours qui suivent la vaccination. Imaginez les
réactions qui se déclarent à long terme!
Pour dédommager les dommages engendrés par la vaccination, les USA ont mis sur pieds
un fond appelé Vaccine Injury Compensation Act (fondé en 1986). Depuis, + de 1
milliards de dollars américains ont été accordés en dédommagement pour des séquelles
liées à des vaccins, dont plusieurs décès.
Au total, 2 demandes sur 3 ont été refusés et la FDA a relevé dans les 4 dernières années
seulement
+ de 31 000 cas d'effets secondaires graves, dont 500 décès
Au Québec, l’immunité juridique a été offerte à la compagnie GSK en cas de poursuites
légales contre ce producteur de vaccin. C’est l’État qui dédommagera et donc c’est vous
par vos impôts qui dédommageront les malades en cas de complications importantes suite
à la vaccination H1N1.

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3. Les études d’efficacité et d’innocuité de ca vaccin ne sont
pas encore terminées
Sur le site de Santé Canada, on peut lire :
« Une brève étude clinique sera menée auprès de sujets humains afin de vérifier
la sécurité du vaccin et de s'assurer qu'il induit une réaction immunitaire. »
Sur celui de l’OMS :
« Par manque de temps, les données cliniques seront inévitablement limitées au
moment où on commencera à administrer les vaccins contre la grippe
pandémique. Les tests d’innocuité et d’efficacité devront donc se poursuivre
après avoir commencé à les administrer. »
Pourtant, les commandes de vaccins ont été envoyées à GlaxoSmithKline (GSK) en juin
2009. Depuis, on nous assure de leur sécurité et de leur efficacité sans jamais les avoir
testés. Je trouve que cela manque beaucoup de rigueur scientifique.
Également sur le site de l’OMS :
« Certains pays n’imposeront pas cette étape, car de nombreux essais cliniques ont
déjà été faits pour la préparation de vaccins annuels comparables et l’on part du
principe que le nouveau vaccin contre la grippe pandémique aura des propriétés
similaires. »
C’est faux. Tous les vaccins qui seront injectés en 2009 au Québec ont été adaptés à
partir d’un vaccin pré-pandémique (H5N1) qui a été autorisés en 2008 par la FDA.
Aucune nouvelle demande d’autorisation n’a donc été nécessaire. Les vaccins sont donc
des copies auxquelles on a interchangé le H5N1 pour le H1N1 et auxquelles on a ajouté
du mercure et beaucoup d’adjuvants.
Faits importants :
A- Les études sur la sécurité des vaccins sont réalisées que sur des enfants en
parfaite santé
On vaccine tout de même les enfants malades sans jamais avoir testé l’impact qu’a les
vaccins sur leur système immunitaire affaiblit.
B- Aucune étude n’a été réalisée entre les VACCINÉS et les NON-VACCINÉS
C- Les études ne font pas appel à de véritables placebos
Le « placebo » est en fait un autre vaccin dont le « profile de sécurité est connu ». Il
s’ensuit que si le nouveau vaccin révèle les mêmes effets secondaires que le
« placebo », il sera considéré comme « sans danger ». On n’a jamais comparé un
vaccin à un véritable placebo.

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D- Les études sur la sécurité des vaccins sont insuffisantes et incomplètes
Le suivi des effets secondaires se limite à une durée dérisoire de 14 à 21 jours (parfois
5 jours), alors que les problèmes complexes liés au système immunitaire peuvent
prendre des semaines et même des mois avant de se manifester.
E- Les anticorps engendrés par le vaccin ne sont pas synonymes de protection
On considère que les vaccins assurent la protection grâce au développement
d’anticorps. De nombreuses références montrent que les anticorps ne protègent pas
nécessairement de l’infection.
Référence : Center for Disease Control (CDC)
Conflits d’intérêts :
Aux USA, le Center of Disease Control (CDC) a pour mission : Promouvoir l'utilisation
des vaccins et évaluer leur sécurité et leur efficacité. Il s’agit à la base d’un grand conflit
d’intérêts.
Dan Burton, représentant au Congrès américain :
« Les présidents et plusieurs membres des deux comités consultatifs détiennent
des actions d'entreprises dans la fabrication des vaccins. Les recherches sur la
vaccination sont menées à l'aide des fonds provenant de ces actions. D'ailleurs,
plusieurs membres ont obtenu des brevets pour les vaccins sur lesquels ils sont
chargés de fournir des avis. »
Et que pensez de Santé Canada?
(Santé Canada : Corrompue jusqu’à la moelle, Dr Shiv Chopra)
3 études ont été réalisées par un comité d'experts pour étudier la question. Dr Hyde, MD
et expert du comité a alors émis le commentaire suivant:
« Je crois qu'il est possible que les scientifiques invités soient redevables envers la
compagnie pharmaceutique d'une façon ou d'une autre, que ce soit parce que la
compagnie assumait certaines dépenses, comme le voyage des épouses, ou qu’elle
fournissait des subventions de recherche reliées à d'autres produits de la
compagnie. »
Rapport de l’American Institute of Medecine (1994)
«... les connaissances se rapportant directement ou indirectement à la question des
vaccins comportent des limites et des lacunes :
- Compréhension inadéquate des mécanismes biologiques
- Données insuffisantes ou contradictoires provenant des rapports et des
séries de cas
- Activités de suivi inadéquates, tant par leur durée que par l'ampleur des
populations concernées

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Selon le Dr. Walter O. Spitzer, professeur en épidémiologie (Université de McGill)
« Dans la recherche sur la vaccination, les échantillons sont trop peu importants,
les suivis sont souvent non appropriés et les corrélations sont utilisées de façon
erronée »
« II n‘existe aucune étude longitudinale sur les effets à long terme des vaccins, ni
sur les conséquences liées à l'administration de vaccins multiples »
En 1996, le Dr Stanley Plotkin (compagnie pharmaceutique Pasteur Mérieux), a expliqué
pourquoi il est important de rendre l'immunisation obligatoire dans les pays riches
comme les États-Unis :
« La clé d'un système global de vaccination généralisée tient à ce que les coûts de
la recherche (des compagnies pharmaceutiques) puissent être récupérés en
Amérique du Nord et en Europe et que les vaccins puissent être vendus dans les
pays en voie de développement avec des marges de profits moins élevées...»
Le problème :
En rendant obligatoire l'immunisation des enfants contre bien des maladies, il ne
serait plus possible de comparer le niveau de santé des personnes vaccinées
avec celui de personnes qui ne seraient pas vaccinées.

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4. Il n’y a pas, à ce jour, de pandémie de grippe H1N1
Quelques statistiques mondiales (sur le site de l’OMS) en date du 11 octobre 2009 :
- Grippe traditionnelle : 250 000 à 500 000 décès/année (sur 5 millions de cas) = 10%
- Grippe H1N1 :
4 735 décès, donc 9 500 décès/année (sur 399 232 cas) = 2%
http://www.who.int/csr/don/2009_10_16/en/
Alors, pourquoi crie-t-on à la pandémie dans ce cas? Alons voir l’évolution de la
définition du mot PANDÉMIE au cours des 2 dernières années :
- En 2008 : Nouveau virus, qui se propage rapidement, contre lequel on a aucune
immunité et qui provoque un taux élevé de morbidité et décès.
- En 2009 : Nouveau virus, qui se propage rapidement et contre lequel on a aucune
immunité (retrouvé sur plus de 2 continents).
On a aussi tendance à nous dire dans les médias : “La deuxième vague pourrait être
terrible!”
Par cela, on veut dire que la grippe ayant surgit en première vague en plein été, elle
pourrait s’avérer bien pire lors d’une seconde vague qui se produirait cet hiver.
Allons voir ce que dit l’OMS sur le nombre de cas répertoriés en Argentine l’hiver
dernier :
- Nombre de cas de grippe (toute souches confondues) :
2008 : 1 200 000
2009 : 812 000
- Nombre de décès suivant une grippe (idem) :
2008 : 2 800 décès
2009 : 439 décès
L'OMS n’a fait aucune mention de ces données rassurantes dans quelconque média québécois.
Et là on nous dit : “ Si le virus mutait, il pourrait devenir très mortel”
Alors là, leurs vaccins ne seraient pratiquement plus efficaces contre cette nouvelle
souche.
(Voir Annexe 3 pour consulter des graphiques qui démontrent le nombre de décès infantiles reliés à H1N1
en comparaison avec ceux de la grippe traditionnelle)

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5. Les vaccins antigrippaux n’ont jamais démontré leur efficacité
A.
L’efficacité du vaccin anti-grippal n’a pas été démontré pour aucun des groupes
d’âge étudiés
Archives of Pediatric & Adolescent Medicine, octobre 2008
B.
“La vaccination anti-grippal n’est pas associée à une diminution du risque de
pneumonie chez les personnes âgées“
Lancet , 2008 + The New Engl. Jour. of Medicine
C.
Malgré l’augmentation élevée (de 15% à 65% en 10 ans) du nombre de vaccinés
chez les personnes âgées, il n’y a aucune diminution des décès chez cette
population
American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine
D.
Il n’y a aucune évidence que le vaccin anti-grippal est plus efficace que le placebo
chez l’enfant Revue de 51 études, Cochrane Database of Systematic Reviews
en 2006, études réalisées sur 260 000 enfants âgés entre 6 et 23 mois
Source : National Center for Biotechnology Information (http://www.ncbi.nlm.nih.gov/)
6. Je veux éviter de participer à une mutation virale dangereuse qui
pourrait conduire à une épidémie contre laquelle aucun médicament
ou vaccin n’existe
L’histoire nous a appris que plus on attaque une bactérie avec un antibiotique, plus elle
risque de devenir résistante à ce même antibiotique et plus on participe à son évolution.
Ce phénomène s’appelle mutation.
Dans le monde des virus, on remarque le même phénomène avec les antiviraux. Par la
vaccination, on risque également de créer une souche virale encore plus virulente. C’est
ce que l’on appelle la commutation.
La commutation est un passage du patrimoine génétique d’un virus à des cellules saines.
Étant donné que le virus de la grippe porcine présente un virus H1N1 (très contagieux et
peu mortel) et un virus H5N1 (très mortel et peu contagieux), on risque de produire un
virus mutant très mortel et très contagieux.
C’est un véritable cercle vicieux!
http://www.youtube.com/watch?v=H_DHHjnyuKU&feature=player_embedded

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7. Je désire accroître naturellement mon système immunitaire
Les médias présentent très peu de façon autre que le masque et le lavage de main pour
stimuler notre système immunitaire. En voici quelques-unes :
- Consommer beaucoup de fruits et de légumes biologiques
- Éviter les sucres et les produits laitiers
- Consommer gingembre, ail, oignons, choux, clou de girofle
- Éviter les produits transformés, les conserves et les gras trans
- Consommer beaucoup d’eau
- Utiliser des probiotiques (minimum de 10 milliards de bactéries et 8 souches
différentes)
- Éviter le tabac, les produits allergènes, la pollution et les agents stressants
- Consulter en naturopathie et en herboristerie (baie de sure, ginseng, ortie, échinacée,
menthe poivrée, eucalyptus radié, citron, ...)
8. Je crois au potentiel inné de mon pouvoir d’auto-guérison
Le corps humain possède la plus belle pharmacie qui existe. Anti-inflammatoires
naturelles, cortisone naturelle, anti-pyrétiques naturels, cellules N-Killer pour l’attaque
virale, anticorps, etc. Si l’on croit qu’un jour, la pharmacologie arrivera à surpasser les
centaines de milliers de composantes qui animent notre corps, hé bien, c’est rêvé en
d’innombrables couleurs.
Il existe 2 types d’immunité. La première est naturelle et permanente et elle s’active
lorsque l’on combat naturellement une infection. La mémoire qui est résulte du combat
est là pour la vie et se transfert même au foetus par le placenta et par l’allaitement. La
seconde est artificielle et temporaire et elle s’active par la vaccination. Elle brime le
développement naturel de l’immunité et n’est pas transmise au bébé. On voit donc aucun
transfert intergénérationnel et donc, une immunité de l’espèce humaine qui en est de plus
en plus affectée. À force de se fier à une défense artificielle et à devenir de plus en plus
stérile par notre hygiène excessif, l’être humain devient de plus en plus faible et
compromet son immunité à long terme.
Plusieurs experts sont d’avis que les maladies infectieuses de l’enfance nous donnent les
outils et les armes essentielles au combat contre virus et bactéries. Il faut donc les défier
naturellement et non pas les esquiver par la vaccination.
Dr Stéphanie Cave, MD
Le mot d’ordre : SANTÉ
S ystème nerveux : Faites vous ajuster régulièrement (↑SI)
A ttitude positive : Vos pensées ont une grande influence sur votre santé
N utrition adéquate : Mangez bio et diversifié
T emps de repos : Légère fatigue, dormez!
E xercice : Bougez, bougez, bougez (↑SI)

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9. Je suis pour la liberté de choisir
Le ministre Yves Bolduc a déclaré le 16 octobre dernier dans le Journal de Québec et Le
Soleil :
« S’il le faut, nous déclarerons l’État d’Urgence Sanitaire »
Voici ce que veut dire cette citation dans la Loi de la Santé Publique votée en 2001 :
http://www2.publicationsduquebec.gouv.qc.ca/dynamicSearch/telecharge.php?type=2&file=/S_2_2/S2_2.html
DÉCLARATION D’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE
123. Au cours de l’état d’urgence sanitaire, malgré toute disposition contraire, le
gouvernement ou le ministre, s’il a été habilité, peut, sans délai et sans formalité, pour
protéger la santé de la population :
1° ordonner la vaccination obligatoire de toute la population ou d’une certaine partie de
celle-ci contre la variole ou contre une autre maladie contagieuse menaçant gravement la
santé de la population et, s’il y a lieu, dresser une liste de personnes ou de groupes devant
être prioritairement vaccinés ;
2° ordonner la fermeture des établissements d’enseignement ou de tout autre lieu de
rassemblement ;
3° ordonner à toute personne, ministère ou organisme de lui communiquer ou de lui
donner accès immédiatement à tout document ou à tout renseignement en sa possession,
même s’il s’agit d’un renseignement personnel, d’un document ou d’un renseignement
confidentiel ;
4° interdire l’accès à tout ou partie du territoire concerné ou n’en permettre l’accès qu’à
certaines personnes et qu’à certaines conditions, ou ordonner, lorsqu’il n’y a pas d’autre
moyen de protection, pour le temps nécessaire, l’évacuation des personnes de tout ou
partie du territoire ou leur confinement et veiller, si les personnes touchées n’ont pas
d’autres ressources, à leur hébergement, leur ravitaillement et leur habillement ainsi qu’à
leur sécurité ;
5° ordonner la construction de tout ouvrage ou la mise en place d’installations à des fins
sanitaires ou de dispensation de services de santé et de services sociaux ;
6° requérir l’aide de tout ministère ou organisme en mesure d’assister les effectifs
déployés ;
7° faire les dépenses et conclure les contrats qu’il juge nécessaires ;
8° ordonner toute autre mesure nécessaire pour protéger la santé de la population.
126. Si une personne fait défaut de se soumettre à la vaccination visée par un ordre donné
en vertu de l’article 123, tout juge de la Cour du Québec ou des cours municipales des
villes de Montréal, Laval ou Québec ayant juridiction dans la localité où se trouve cette
personne, peut lui ordonner de s’y soumettre. Le juge peut en outre, s’il a des motifs
sérieux de croire que cette personne ne s’y soumettra pas et qu’il est d’avis que la
protection de la santé publique le justifie, ordonner que cette personne soit conduite à un
endroit précis pour y être vaccinée.

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DISPOSITIONS PÉNALES
139. Commet une infraction et est passible d’une amende de 1 000 $ à 6 000 $
quiconque, dans le cadre de l’application du chapitre XI, entrave ou gêne le ministre, le
directeur national de santé publique, un directeur de santé publique ou une personne
autorisée à agir en leur nom, refuse d’obéir à un ordre que l’un d’eux est en droit de
donner, refuse de donner accès ou de communiquer un renseignement ou un document
que l’un d’eux est en droit d’exiger ou cache ou détruit un document ou toute autre chose
utile à l’exercice de leurs fonctions.
141. Commet une infraction quiconque aide ou, par un encouragement, un conseil, un
consentement, une autorisation ou un ordre, amène une autre personne à commettre une
infraction visée par la présente loi. Une personne déclarée coupable en vertu du présent
article est passible de la même peine que celle prévue pour l’infraction qu’elle a aidée ou
amené à commettre.
Le gouvernement, le ministre ne peut être poursuivi en justice pour un acte
accompli de bonne foi dans l’exercice ou l’exécution de ces pouvoirs.
À la lecture de cette loi, je comprends qu’en vous expliquant les raisons qui motivent
mon choix de non-vaccination, je vous conseille indirectement de ne pas vous faire
vacciner et qu’en État d’Urgence Sanitaire, je pourrais être pénalisé d’une amende pour
infraction à la loi 141.
Je doute de l’utilisation de cette mesure d’urgence, mais le simple fait qu’elle existe et
qu’elle puisse être utilisée cette année me répugne énormément. Les vaccinés ne
devraient-ils pas être protégés des non-vaccinés? Plus on remet notre sécurité entre les
mains d’autrui, plus on perd notre liberté.
Je vous recommande d’imprimer l’Annexe 4 si vous désirez vous faire vacciner
(consentement éclairé).
Que pense la communauté médicale de cette vaccination massive H1N1?
48% des médecins ne se feront pas vacciner
(référence : Le Quotidien du Médecin, 21/09/2009)
- Généralistes : 38%
- Spécialistes : 62%
(Ces statistiques ont depuis beaucoup diminué étant donné la pression sévère exercée par
le Collège des Médecins.)
Le Syndicat des infirmières en France a dit :
“Une vaccination massive contre un virus grippal relativement bénin, présente des
risques, du fait d’un vaccin développé trop rapidement, et d’un adjuvant
susceptible de déclencher des maladies auto-immunes.”
Autres citations de professionnels de la santé (voir Annexe 5)

Page 17
Références
Livres intéressants :
Vaccines : Are they really safe and effective?, Neil Z. Miller, 2008, 128p
The sanctity of human blood, Dr Tim O’Shea, DC, 2003, 193p
What Your Doctor May Not Tell You About Children's Vaccinations, Dr Stephanie Cave, MD, 2001,
315p
Vaccinations les vérités indésirables, Pr Michel Georget, 2000, 383p
Immunization : Theory vs. Reality, Neil Z. Miller, 1996, 157p
A shot in the dark, Dr Harris L. Coulter, 1991, 270p
L'envers de la pilule, Jean-Claude St-Onge, 2004, 228p
Death by prescription, Dr Ray Strand, MD, 2004, 244p
Immunologie, Jean-Pierre Revillard, 2008, 595p
Le système immunitaire, Peter Parham, 2003, 424p
Autres livres et articles (voir Annexe 7 et 8)
Sites web intéressants :
www.mercola.com
www.mondialisation.ca
www.thinktwice.com
www.vaccinationdebate.com
www.kwno-vaccines.org
www.vaccinationdilemma.com
www.passeportsante.net
www.hc-sc.gc.ca (Santé Canada)
www.altermonde-sans-frontiere.com
www.phac-aspc.gc.ca (ASPC)
www.danger-sante.org
www.who.int (OMS)
www.sayingnotovaccines.com
www.verites.org
www.forum.doctissimo.fr
www.educate-yourself.org
www.brainguardmd.com
www.vaclib.org
www.spreadthetruth.fr
www.nccn.net
www.nvic.org
Vidéos intéressants :
Silence on vaccine : http://video.google.ca/videoplay?docid=8503852033482537965#
La face cachée des vaccins :
http://www.youtube.com/watch?v=H_DHHjnyuKU&feature=player_embedded
Qu’en pense Dr Marc Girard :
http://www.youtube.com/watch?v=dXAK_6iZbH0&feature=player_embedded
Dr Kent Holtorf sur Fox News : http://www.youtube.com/watch?v=E1z7KSEnyxw
Grippe porcine 1976 : http://www.dailymotion.com/video/x9my3m_grippe-porcine-de-1976_news
Qu’en pensent les experts? : http://www.youtube.com/watch?v=l1K74Tnrrok
Nom de médecin à taper sur google :
Dr Marc Girard, MD, expert en pharmacovigilance et en pharmaco-épidémiologie
Dr Marc Gentilini, MD, expert maladies infectieuses
Dr Andrew Wakefield, MD, gastro-entérologue
Dr Andrew Moulden, MD, neurophysiologue
Dr Mark Geier, MD, PhD génétique
Dr Kent Holtorf, MD, expert maladies infectieuses
Dr Russell Blaylock, MD, chirurgien
Dr Joseph Mercola, MD, ostéopathe
Dr Ray Strand, MD, PhD nutrition
Dr. Laura Hewitson, PhD, biologie
Dr Marc Vercoutère, MD, homéopathe
Dre Ghislaine Lanctôt, MD de famille
En italique : Ceux qui ont déjà trop parlés et qui ont étés remerciés de leur service.

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Annexe 1 Composantes des vaccins et leurs caractéristiques
Aluminium : Toxicité cardiovasculaire, sanguine, neurologique et respiratoire.
Amphotéricine B : L’allergie connue à cette drogue interdit son utilisation.
Bêta propiolactone : Carcinogène. Toxicité gastro-intestinale ou hépatique,
toxicité respiratoire et sensorielle. Classé comme un des composés les plus
dangereux pour l’être humain
Formaldéhyde : Carcinogène. Toxicité gastro-intestinale ou hépatique, toxicité
immunitaire, neurologique et du système reproducteur, toxicité respiratoire et
sensorielle. Classé comme un des composés les plus dangereux pour l’écosystème
et la santé humaine
Glutamate monosodique : Retiré de tous les produits destinés aux enfants de
moins d’une année. Des piqûres de glutamate chez les animaux de laboratoire ont
eu comme conséquence des dommages aux cellules nerveuses du cerveau.
Néomycine : Antibiotique
Phénol (acide carbolique) : Toxicité cardiovasculaire ou sanguine, toxicité du
développement, toxicité gastro_intestinale ou hépatique, toxicité par contact avec
la peau, toxicité rénale, neurologique, respiratoire et sensorielle.
Phenoxyéthanol : Toxicité du développement, toxicité du système reproducteur.
Polymyxin : Antibiotique
Polysorbate : Toxicité par contact avec la peau ou les organes des sens
Sorbitol : Toxicité gastro-intestinale ou hépatique.
Streptomycine : Antibiotique
Sulfate d’ammonium : Toxicité gastro-intestinale ou hépatique, toxicité
neurologique et respiratoire
Sulfate de gentamicine : Antibiotique
Thiomersal (dérivé mercuriel) : Toxicité du développement. Toxicité par
contact avec la peau ou les organes des sens. Danger pour la vie.

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Annexe 2 Études qui démontrent le lien entre le mercure et l’autisme
1. Environmental Health Perspectives, August, 2005
Fourteenstudies.org states: “This study demonstrates clearly and unequivocally that ethyl
mercury, the kind of mercury found in vaccines, not only ends up in your brain, but
leaves double the amount of inorganic mercury as methyl mercury, the kind of
mercury found in fish.
This work is groundbreaking because little is known about ethyl mercury, and
many health authorities have asserted that the mercury found in vaccines is the
"safe kind."
This study also delivers a strong rebuke of the Institute of Medicine's recommendation in
2004 to no longer pursue the mercury-autism connection. Excerpt:
"A recently published IOM review (IOM 2004) appears to have abandoned the earlier
recommendation [of studying mercury and autism] as well as back away from the
American Academy of Pediatrics goal [of removing mercury from vaccines].
This approach is difficult to understand, given our current limited knowledge of the
toxicokinetics and developmental neurotoxicity of thimerosal, a compound that has been
(and will continue to be) injected in millions of newborns and infants."
2. Cell Biology and Toxicology April 9, 2009 [Epub Ahead of Print]
Exerpt: “In conclusion, MT-1 and MT-3 mRNAs but not MT-2 mRNA are easily
expressed in the cerebellum rather than in the cerebrum by the injection of low-dose
thimerosal. It is thought that the cerebellum is a sensitive organ against thimerosal.
As a result of the present findings, in combination with the brain pathology observed in
patients diagnosed with autism, the present study helps to support the possible
biological plausibility for how low-dose exposure to mercury from thimerosal-
containing vaccines may be associated with autism.
3. Annals of Epidemiology September 2009: 19(9);659
Male infants who received thimerosal-containing hepatitis-B vaccinations had a three-
fold risk of developing autism.
4. Neurotoxicology October 1, 2009
The above findings are confirmed in this study wherein infant primates injected with just
ONE dose of thimerosal-containing hepatitis B vaccine manifested significant
developmental delays.
5. Brain Research September 9, 2009 [Epub Ahead of Print]

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Study concluded that injecting thimerosal into suckling infant rats, and adult rats, impairs
sensitivity to pain, apparently due to activation the endogenous opioid system.
6. Toxicology & Environmental Chemistry September-October 2008: 90(5);997-1008
Male infants who received thimerosal-containing hepatitis-B vaccinations were nine
times as likely to be receiving special education services
7. Generation Rescue Survey of 9,000 boys, aged 4-17, in California and Oregon, found
that vaccinated boys had a 155 percent greater chance of having a neurological disorder
than unvaccinated boys. Vaccinated boys were 224 percent more likely to have Attention
Deficit Hyperactivity Disorder (ADHD), and 61 percent more likely to have autism.
For boys in the 11-17 age bracket, the results were even more pronounced. Vaccinated
boys were 158 percent more likely to have a neurological disorder, 317 percent more
likely to have ADHD, and 112 percent more likely to have autism.
8. Report to the Legislature on the Principle Findings from The Epidemiology of Autism
in California: A Comprehensive Pilot Study by the MIND Institute, October 2002,
concluded that the rise in autism cannot be explained by better diagnosis and expanded
diagnostic criteria, but rather is a real event, likely propelled by “environmental
exposures to substances such as mercury; viral exposures; autoimmune disorders; and
childhood vaccinations."
9. Toxicology and Applied Pharmacology 2006: 214; 99-108
This French study used a new, sophisticated measurement for environmental toxicity by
assessing porphyrin levels in autistic children. It provides clear and unequivocal evidence
that children with autism spectrum disorders are significantly more toxic than their
neurotypical peers.
10. Journal of American Physicians and Surgeon, 2003
Exerpt: "The data from this study, along with emerging epidemiological data showing a
link between increasing mercury doses from childhood vaccines and childhood
neurodevelopmental disorders, increases the likelihood that mercury is one of the main
factors leading to the large increase in the rate of autism and other neurodevelopmental
disorders. It is hoped that removing thimerosal from all childhood vaccines will
contribute to a decline in the numbers of new cases of autistic spectrum disorders."
11. Journal of Toxicology and Environmental Health 2007: 70; 837-851
This study reviewed the case histories and medical profiles of nine autistic children and
concluded that eight of the nine children were mercury toxic and this toxicity manifested
itself in a manner consistent with Autism Spectrum Disorders.
12. Neuropediatrics, August 2006
Exerpt: "There was significant difference in blood mercury levels between cases and

Page 21
controls, which persists after adjustment for age, gender and parental occupational
status. The geometric mean blood mercury level was also significantly higher in children
with inattentive and combined subtypes of ADHD. CONCLUSION: High blood mercury
level was associated with ADHD. Whether the relationship is causal requires further
studies."
13. International Journal of Toxicology 2003: 22; 277-285
Fourteenstudies.org states: “This recent study demonstrates that the levels of mercury in
the birth hair of autistic children were significantly lower than their control peers. While
this may at first appear contradictory, it highlights one of the critical insights to
understanding mercury poisoning and autistic children: many autistic children are non-
excretors of mercury. This means their capacity to excrete mercury is significantly lower
than their neurotypical peers and contributes to their condition.”
14. Journal of Pediatrics, May 2000: 136; 679-681
This study measured mercury levels in infants before and after the administration of a
Hepatitis B vaccine containing thimerosal and found that a "comparison of pre and post-
vaccination mercury levels showed a significant increase in both preterm and term infants
after vaccination."
15. Neurotoxicology January 2005: 26; 1-8
Study demonstrates that thimerosal lowers or inhibits your body's ability to produce
glutathione, an antioxidant and your body's primary cellular-level defense against
mercury.
Excerpt: "Thimerosal-induced cytotoxicity was associated with depletion of intracellular
Glutathione in both cell lines...The potential effect of Glutathione or N-acetylcysteine
against mercury toxicity warrants further research as possible adjunct therapy to
individuals still receiving Thimerosal-containing vaccines."
16. Environmental Health Perspectives, July 2006
Study demonstrates that very low-levels of Thimerosal can contribute to immune system
disregulation.
17. Molecular Psychiatry July 2004; 1-13
Study demonstrates how thimerosal inhibits methylation, a central driver of cellular
communication and development.
Exerpt: "The potent inhibition of this pathway [methylation] by ethanol, lead, mercury,
aluminum, and thimerosal suggests it may be an important target of neurodevelopmental
toxins."
18. Molecular Psychiatry September 2004; 1-13

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Fouteenstudies.org states: “This work by Columbia University Doctors explores whether
genes are important in determining if mercury exposures akin to those in childhood
immunizations can disrupt brain development and function.
It is the first known scientific study done specifically on ethlymercury administered in a
way similar to the vaccine schedule. Dr. Hornig discussed the study before Congress in
September 2004.”
Excerpt: "The premise of our research is that if mercury in vaccines creates risk for
neurodevelopmental disorders such as autism, genetic differences are likely to contribute
to that risk. Earlier studies, however, did not use the form of mercury present in vaccines,
known as thimerosal, and did not consider whether intramuscular, repetitive
administration during early postnatal development, when the brain and immune systems
are still maturing, might intensify toxicity.
Our predictions were confirmed. Using thimerosal dosages and timing that approximated
the childhood immunization schedule, our model of postnatal thimerosal neurotoxicity
demonstrated that the genes in mice that predict mercury-related immunotoxicity also
predicted nuerodevelopmental damage. Features reminiscent of those observed in autism
occurred in the mice of the genetically sensitive strain."
19. Toxicological Sciences 2003: 74
Study demonstrates the potent toxicity of thimerosal on brain cells.
20. Autoimmunity Reviews June 2005: 4(5):270-275
Study demonstrates the clear link between ethylmercury [from thimerosal] and
autoimmune responses.
21. Congressional Record - Extensions of Remarks by Congressman Dan Burton (R-IN),
Committee on Government Reform, May 21, 2003
Fouteenstudies.org states: “This extensive report was prepared by the staff of the
Subcommittee on Human Rights and Wellness and was the result of a three-year
investigation. The Committee on Government Reform, chaired by Congressman Dan
Burton, initiated the investigation and compiled the testimony of hundreds of researchers
and physicians, as well as representatives from the FDA and CDC, who presented to the
committee.”
Excerpt: "Mercury is hazardous to humans. Its use in medicinal products is undesirable,
unnecessary and should be minimized or eliminated entirely. Manufacturers of vaccines
and thimerosal, (an ethlymercury compound used in vaccines), have never conducted
adequate testing on the safety of thimerosal. The FDA has never required manufacturers
to conduct adequate safety testing on thimerosal and ethlymercury compounds...
Thimerosal used as a preservative in vaccines is likely related to the autism epidemic.
This epidemic in all probability may have been prevented or curtailed had the FDA not
been asleep at the switch regarding injected thimerosal and the sharp rise of infant

Page 23
exposure to this known neurotoxin. Our public health agencies' failure to act is indicative
of institutional malfeasance for self-protection and misplaced protectionism of the
pharmaceutical industry."
22. Journal of American Physicians and Surgeons 2006; 11(1); 8-13
Upon analysis of the Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS), researchers
reported significantly increased odds ratios for autism, speech disorders, mental
retardation and thinking abnormalities following vaccination with thimerosal-containing
vaccines (DTP and Hib), compared to children who received a vaccine containing half
the amount of thimerosal (DTPH).
The American Academy of Pediatrics decided that this study was flawed because it relied
on VAERS data, which as a “passive surveillance system” is no intended to be used for
proving hypotheses.

Page 24
Annexe 3 Comparaison des décès infantiles (grippe vs H1N1)
Comparaison du nombre d’hospitalisations d’enfants (2005-2009)
Référence : Dr Russell Blaylock, MD
www.mercola.com

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Annexe 4 Consentement éclairé
La garantie de sécurité des vaccins
Je (nom du médecin, titre),______________________________, suis un médecin détenant un permis pour
pratiquer la médecine dans la province de ___________. Mon numéro de permis est le _____. Ma
spécialité médicale est _______________. Je connais les risques et bénéfices de tous les médicaments que
je prescris ou que j’administre à mes patients. Dans le cas de (nom du patient) _______________, âgé de
_____, certains facteurs de risque existent et justifient que je recommande la vaccination.
La liste qui suit énonce ces facteurs de risque :
______________________________________________________________________________________
______________________________________________________________________________________
Je suis conscient que les vaccins contiennent plusieurs des composantes suivantes : Hydroxyde
d’aluminium, phosphate d’aluminium, sulfate d’ammonium, Amphotéricine B, tissus animales (sang de
cochons, sang de chevaux, cervelle de lapins, reins de chiens, reins de singes, embryon de poussins, œufs
de poule, œufs de canard, sérum de bovins), betapropiolactone, formaldéhyde, formaline, gélatine, glycérol,
cellules diploïdes humaine (provenant de tissus humains des bébés morts par avortements), gélatine
hydrolysée, néomycine, néomycine sulfate, glutamate de monosodium (MSG), thimérosol de mercure,
indicateur de phénol rouge, phénoxyéthanol (antigel) , diphosphate de potassium, polymyxine B,
polysorbate 20, polysorbate 80, sorbitol, tributylphosphate, protéines résiduelles MRC5, hydrolysate de
caséine pancréatique de cochons, cellules VERO (provenant des cellules de reins de singes), cellules de
sang de moutons.
Par le fait même, je garantie que l’injection de ces ingrédients dans le corps de mon patient est sécuritaire.
J’ai fais les recherches qui rapportent le contraire entre autre quant au lien entre le thimérosal causant de
sévères troubles neurologiques et immunologiques, et je trouve que ces recherches sont non crédibles.
Je suis conscient que certains vaccins étaient contaminés par le virus Simian SV 40 et que ce virus a été
associé au lymphome non-Hodgkinien et aux mésothéliomes chez les humains mais aussi chez les animaux.
Je garantie donc que les vaccins que je fais administrer aux patients ne contiennent pas le virus SV40 ou
tous autres virus.
Je garantie aussi que les vaccins recommandés ne contiennent pas de tissus provenant de bébés morts à la
suite d’un avortement. Dans le but de protéger le bien-être de mes patients, j’ai suivi les étapes suivantes
afin de leur garantir que les vaccins en cause ne contiennent aucun contaminant :
Étapes encourues :
______________________________________________________________________________________
______________________________________________________________________________________
J’ai personnellement investigué les rapports fait au VAERS (Vaccine Adverse Reporting System) et
j’affirme que les vaccins que je recommande peuvent être administrés de façon sécuritaire à des enfants de
moins de 5 ans.
J’atteste la véracité et l’exactitude des informations inscrites dans ce document :
Signature : __________________________________
Voir Annexe 9 si vous désirez de vous faire vacciner…

Page 26
Annexe 5 Citations médicales sur les vaccinations
« Les vaccinations en bas âge ne peuvent pas aider car elles ont des effets dangereux sur
le système immunitaire de l’enfant laissant peut-être ce système tellement atteint qu’il ne
peut plus protéger l’enfant durant sa vie ouvrant la voie à d’autres maladies suite à une
dysfonction immunitaire. »
-Drs. H. BUTTRAM et J. HOFFMANN
« Les vaccins donnent les maladies, en créent de nouvelles et propagent la mort. La
preuve scientifique qu’une provocation artificielle d’une maladie empêche l’apparition
d’une maladie naturelle n’a jamais été établie. Comme médecin, je m’élève contre ces
vaccinations et proteste contre le mythe de Pasteur. »
-Dr. Paul-Emile CHEVREFILS
« Je suis fermement convaincu que la vaccination ne peut être montrée comme ayant
quelque relation logique avec la diminution des cas de variole. La plupart des personnes
sont mortes de la variole qu’ils contractèrent après avoir été vaccinées. »
-Dr. J.W. HODGE
(The Vaccination Superstition)
« Certaines souches de vaccines peuvent être impliquées dans des
maladies dégénératives telles que l’arthrite rhumatoïde, la leucémie, le diabète et la
sclérose en plaques. »
-Dr. G. DETTMAN
(Australian Nurses Journal)
« Plusieurs auteurs allemands ont décrit la relation entre la sclérose en plaques et les
vaccinations contre la variole, la typhoïde, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose. »
-British Medical Journal 1967
« Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe
est beaucoup plus grand que la grippe elle-même. »
-Dr. William FROSEHAVER
« C’est une grande insulte faite au système immunitaire d’un enfant que d’introduire
dans son sang des protéines étrangères ou les virus vivants dont sont composés les
vaccins d’aujourd’hui. »
-Dr. MOSKOWITZ
« Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de
la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin vivant ne peut être administré sans
risque de produire la paralysie… Le vaccin viral vivant de la polio transporte en lui-

Page 27
même le risque de produire la polio paralytique chez les individus vaccinés ou leurs
contacts. »
Dr. SALK
(SALK a introduit le vaccin original de la polio dans les années 50)
« Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaques, le
lupus systémique érythémateux, le Parkinson et le cancer. »
-Pr. R. SIMPSON
de l’American Cancer Society
« Allons-nous échanger la rougeole contre le cancer et la leucémie. »
-Dr. MENDELSOHN
« Le déclin du tétanos en tant que maladie commença avant l’introduction de l’anatoxine
dans la population. »
-Medical Journal of Australia 1978
“L’évidence suggère que les personnes qui sont vaccines contre la grippe ont
approximativement 10 fois plus de chance de contracter le syndrome de Guillain-Barré
que ceux qui n’ont pas été vaccinés. »
-Center for Control Diseases 1977
“C’est une véritable épidémie … Il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien
entre l’autisme et la vaccination sauf des coïncidences. La vérité est que des enfants sont
blessés par vaccinations. »
-Dr. Bernard RIMLAND
(Directeur et fondateur du Autism Research Inst. Of San Diego)
« Pendant 23 ans, j’ai observe que les enfants non vaccines étaient plus sains et plus
robustes que les enfants vaccines. Les allergies, l’asthme et des perturbations
comportementales étaient clairement plus fréquentes chez mes jeunes patients vaccinés.
D’autre part, les premiers souffert plus souvent ou plus sévèrement de maladies
infectieuses que les autres. »
-Dr. Philip INCAO
“ Sur les 3,3 millions d’enfants vaccinés annuellement aux Etats-Unis avec le DCT, 16
038 démontrèrent des crises aiguës et des pleurs persistants – ce qui est considéré par
plusieurs neurologistes comme l’indication d’une irritation du système nerveux central ;
8 484 eurent des convulsions ; 8 484 furent en état de choc dans les 48 heures suivant
l’injection du DCT. »
-Dr. Allan HINMAN et Jeffrey COPELAN
(Journal of the American Medical Association)

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« Il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de l’influenza (grippe) soit capable de
prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à
rien mais ils continuent à le vendre tout de même. »
-Dr. Anthony MORRIS
(Anciennement chef du Contrôle des vaccins, gouvernement des Etats-Unis)
« J’appelle ça de la vaccinnomanie. Nous sommes arrivés à un point qui n’est plus
défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans le corps sans
savoir comment ils pourront affecter dans le temps les fonctions du système immunitaire
frise la criminalité. »
-Nicholas REGUSH
, journaliste médical
« En 1992, une étude publiée dans The American Journal or Epidemiology a démontré
qu’un enfant a 8 fois plus de chance de mourir, trois jours après avoir reçu le vaccin
DCT (diphtérie, coqueluche et tétanos) qu’un enfant non vacciné. »
« ...Le lancement du B.C.G. est un modèle de gangstérisme économique, une gigantesque
et malhonnête opération commerciale. Rien ne manque au scénario : un inventeur
farfelu, des expériences de laboratoire truquées, un vernis pseudo-scientifique, des
statistiques tronquées, une publicité éhontée, l'appui acheté des mandarins, et, suprême
astuce, la gratuité du produit... financé par le contribuable ! »
« Tout cela ne sort pas de l'ordinaire ; le public français est habitué aux scandales. Mais
ce qui est propre au B.C.G., et qui atteint les sommets du machiavélisme, c'est l'ultime
manœuvre, réussie, de coercition diabolique imaginée par les promoteurs, le Conseil de
la République, l'obligation vaccinale pour le B. C. G. »
-Dr. Jean ELMIGER
(La Médecine retrouvée)
« ... Quand un car dégringole un ravin avec 40 écoliers à son bord, le drame fait la une
des journaux dans le monde entier. Les centaines d'enfants tués chaque année par le
B.C.G. restent anonymes... La poule aux oeufs d'or de l'Institut P... finirait en court-
bouillon ! Le corps médical ne doit en aucun cas en être informé... »
« ...Apprenez ici une vérité terrible : chaque fois que vous entendez parler d'une affreuse
mort d'enfant, terrassé dans les premières semaines de sa vie, par une « méningite virale
», vous êtes en droit de suspecter le B.C.G., même si l'autopsie a confirmé le diagnostic
classique d'« encéphalite virale » foudroyante... »
« ...Si le médecin responsable d'une telle horreur est conscient du rapport de cause à
effet, il est un criminel éclairé, et un lâche pour n'avoir pas parlé. S'il ne saisit pas le
rapport, il est un dangereux imbécile prêt à la récidive... »
-Dr. Jean ELMIGER
(La Médecine retrouvée)
« Les campagnes publicitaires en faveur des vaccins représentent un endoctrinement
type lavage de cerveau... On utilise tout d'abord la désinformation, avec trucage des
chiffres statistiques et amalgame savant de l'effet protecteur du vaccin avec d'autres
affections et une annonce de possibilité de contagion totalement fantaisiste. Ensuite on

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sème la terreur, pour faire croire à l'ensemble de la population que telle maladie est
effroyable, mettant au même rang de gravité une banale rougeole et une poliomyélite
paralysante. Ensuite on procède à la banalisation de l'acte vaccinal. »
-Dr Alain SCOHY
« La quasi totalité des cas de poliomyélite recensés aux U.S.A., de 1980 à 1994, a été
causée par l'administration du vaccin oral atténué.»
-Dépêche AFP, 1er février 1997
«Les Français, manipulés et désinformés en sont venus à considérer l'acte vaccinal
comme le baptême : hors vaccin pas de salut. Or, il n'a jamais été prouvé
scientifiquement que les vaccins étaient efficaces et sans danger... Le principe de la
vaccination constitue la plus monstrueuse erreur médicale et scientifique du siècle.»
-Dr. Louis DE BROUWER
(Vaccination erreur médicale du siècle)
« Le système immunitaire s'avère particulièrement endommagé à la suite de vaccinations
de routine... »
« ...Le capital immunologique se trouve substantiellement amoindri chez les nombreux
enfants soumis aux programmes vaccinaux courants.»
-Le Concours Médical
(20 janvier 1974)
« ...Ce n'est pas une pratique médicale sensée que de risquer sa vie en se soumettant à
une intervention probablement inefficace, afin d'éviter une maladie qui ne surviendra
vraisemblablement jamais. »
-Dr Kris GAUBLOMME
« 2/3 des 103 enfants décédés de la mort subite du nourrisson avaient reçu le vaccin
D.T.P. dans les 3 semaines précédant la mort. Certains même étaient morts le lendemain.
»
-Dr TORCH
(« Neurology 1982 »)
« Une équipe médicale du Baylor Collège à Houston a retrouvé le virus SV 40 dans les
tissus de patients souffrant de tumeurs du cerveau et de mésothéliomes. Ce virus, reconnu
cancérigène, a ainsi été injecté à 30 millions de personnes à travers le monde par le
vaccin contre la polio... »
-Science et Vie
(décembre 1996)
« ...Les vaccinés, loin de constituer un barrage protecteur vis-à-vis des non-vaccinés,
sont au contraire dangereux et peuvent contaminer le reste de la population, puisqu'il est
prouvé qu'ils peuvent être porteurs et transmetteurs de virus poliomyélitiques par voie
intestinale, et peut-être par d'autres voies... »
-Dr. Yves COUZIGOU

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« ...Les végétariens prétendent depuis toujours que l'ingestion de la chair des animaux
introduit petit à petit chez l'homme la bestialité de l'animal abattu... Qui parle ici
d'ingestion ? ...Il est injecté à travers la peau, échappant à son contrôle... Les compères
C. et G. (Calmette et Guérin) n'ont pas pris l'animal au hasard. ils ont choisi la vache.
Ce paisible bovidé devient lentement mais sûrement le lien analogique et quasi parental
de la grande famille des Franças… »
-Dr. Jean ELMIGER
(La Médecine retrouvée)
«.Depuis 1957, l'O.M.S. ne recense dans les statistiques que les formes paralytiques de
poliomyélite, alors qu'avant la vaccination, toutes les formes de polio étaient incluses, ce
qui permet de faire apparaître une régression des cas qui est loin d'être la vérité.»
-Dr SCHEIBNER
(Expert Australien)
« ...Après l'échec retentissant du vaccin Salk (Au Massassuchets, 75 % des cas
paralytiques avaient pourtant reçu 3 doses ou d'avantage du vaccin), une parade géniale
fut trouvée pour sortir l'industrie du médicament du pétrin (« Life science ») : on décida
de nouvelles normes pour l'établissement du diagnostic de la polio.
-Pr. GREENBERG
« Si le principe de la vaccination était concevable au début du 20
ème
siècle du fait que le
monde médical et scientifique ignorait pratiquement tout de la biologie moléculaire, des
virus et rétrovirus endogènes et même exogènes et du principe de la recombinaison de
ces derniers, il en va tout autrement depuis quelques décennies. Continuer à vacciner des
populations entières, depuis 1978 des centaines de millions d'individus, constitue non
seulement une erreur, mais également un acte criminel, véritable génocide, à
l'échelleplanétaire. »
-Dr Louis de Brouwer
(Sida, le vertige)
« Que la vaccination soit obligatoire ou non obligatoire, vacciner de force, c'est violer, y
collaborer est meurtrier. »
-Dr. Guylaine LANCTOT
« La vaccination est le modèle de l'incertitude, des interactions et relations imprévisibles.
Elle se situe aux antipodes de l'esprit scientifique. »
-Dr Jacques KALMAR
« L'ânerie humaine est la source des pires catastrophes... Mais aussi une mine d'or
inépuisable pour qui sait l’exploiter. »
-Dr. Toulet
« L'effet patent des vaccins est de favoriser la mort. »
-Pr. Louis Claude Vincent
« Dans plusieurs pays en voie de développement, on s'était imaginé qu'avec une seule
campagne de vaccinations on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de

Page 31
ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu'à quintupler
depuis la vaccination.»
-Pr Lépine
(Médecine praticienne n°467)
« Quant Les scientifiques et les médecins s'attribuent la gloire d'une évolution qui est
due en réalité aux plombiers et aux paysans! C'est grâce à eux que s'est développée une
meilleure hygiène et que l'on a pu avoir une meilleure nourriture (...) Avec une bonne
nutrition, vous vous assurez un bon système immunitaire et vous n'êtes plus la proie des
maladies. »
-Peter Duesberg
(Professeur de biologie moléculaire et cellulaire à l'université de Berkeley)
« Un virus, même atténué, peut reprendre sa virulence - c'est notamment le cas du virus
polio vaccinal, qui redevient pathogène après son passage dans l'intestin et contribue à
contaminer l'entourage. Les cas de polio chez les contacts des vaccinés par le vaccin oral
sont bien connus. »
-Dr Garcia Silva
(le Maroc Médical n° 43)
« L'introduction volontaire et non nécessaire de virus infectieux dans un corps humain
est un acte dément qui ne peut être dicté que par une grande ignorance de la virologie et
des processus d'infection. [...] Le mal qui est fait est incalculable. »
-Pr R. Delong
(Virologue et immunologue de l'université de Toledo aux Etats-Unis.)
«En 1945, la Hollande était le pays d'Europe le plus touché par le fléau tuberculeux. En
1974, sans jamais avoir eu recours au BCG, la maladie y était totalement éradiquée. A
l'inverse, le fléau tuberculeux reprenait de la vigueur partout où le BCG est encore
pratiqué »
-Bulletin statistique du ministère de la Santé publique et de la Sécurité sociale (n° 1 de 1974)
« Le pire vaccin de tous est celui contre la coqueluche. (...) Il est responsable d'un grand
nombre de morts et d'un grand nombre de dommages cérébraux irréversibles chez les
nouveau-nés. »
-Dr Kalokerinos
(24 mai 1987 Sunwell Tops)
« On a mené une campagne à la hussarde. On a violé la conscience des gens. Même les
grands-mères de 80 ans venaient réclamer leur vaccin ! »
-Pr Alain Fisch
« Les hommes politiques sont donc désormais responsables et coupables. Leur
culpabilité repose sur le fait qu'ils ont en main toutes les informations sur le système
actuel. Ils savent parfaitement que l'expertise fonctionne à sens unique. Ils connaissent la
collusion entre les experts et les vendeurs. Ils acceptent cet état de choses. Les dirigeants
politiques ont des comptes à rendre. »
-Dr Lacaze

Page 32
« Les idées pasteuriennes propagées et enseignées comme un catéchisme d’enfant de
cœur font reculer l’intelligence et donc la civilisation. »
-Dr. René DUFILHO
« Les vaccinations ne sont que d’abominables mystifications hygiéniques qui ont
déconsidéré la science et la pratique de l’art de guérir en décimant l’humanité pour
enrichir les vaccinations. »
-Dr. Hubert BOENS
« La vaccination est la plus grande escroquerie médicale de tous les temps. »
-Pr. Jules TISSOT
« Toute vaccination est un scandale si on la considère sur un plan scientifique. »
-Dr. Jacques KALMAR
« La présence d’un œdème cérébral chez des enfants en bas âge qui meurent peu de
temps après une vaccination contre l’hépatite B est inquiétante… Les enfants de moins de
14 ans ont plus de chance de mourir ou de souffrir de réactions négatives après avoir
reçu le vaccin de l’hépatite B que d’attraper la maladie. »
-Dr. Jane ORIENT (Médecin, directrice de l’Association des médecins américains et des chirurgiens)
« Comme dans les livres saints, le dogme est installé sans faille. »
-Dr. Jacques KALMAR
« Toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave. »
-Dr. Harris COULTER
(Vaccination Social Violence and Criminality)
« Peu de médecins sont disposés à attribuer un décès ou une complication à une méthode
qu’ils ont eux-mêmes recommandée et à laquelle ils croient. »
-Pr. Georges DICK
(British Medical Journal, juillet 1971)
« Le drame c’est que les hommes soient aveugles au point de ne plus être accessible qu’à
l’erreur. Et les hôpitaux, les cimetières sont pleins de gens qui ont accepté, avec
satisfaction, de se laisser assassiner stupidement par la malveillance de la seule force
qu’ils ont cultivée avec soin : la force de leur
IGNORANCE. »
-Dr. Jacques KALMAR

Page 33
« Nous retrouverons toujours les mêmes remarques concernant les effet défavorables des
vaccinations. Une vaccination, quelle soit, est toujours, biologiquement et
immunitairement parlant, une offense pour
l'organisme. »
-Pr R. Bastin
(Concours médical, 1er février 1986)
« Les micro-organismes inoculés à travers toutes les barrières naturelles ont été bricolés
de telle manière que la majorité des individus développe des pathologies chroniques dont
les symptômes ne sont pas faciles à rattacher à leur cause
initiale. »
-Dr Jacqueline Bousquet
Si nous continuons à généraliser et multiplier l’emploi des vaccins, on peut concevoir
que d’ici quelques décades une pathologie nouvelle, celle de sociétés vaccinées, verra le
jour.
-Pr . P. DELOGE
(Tendance de la médecine contemporaine 1962)
Ne vous hâtez pas de faire tomber la fièvre de votre malade ; s’il souffre d’une affection
virale, vous risquez de compromettre sa guérison.
-Pr . André LWOFF
(Prix Nobel de médecine )

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Annexe 6 La vaccination n’est pas la cause de la fin des grandes épidémies
Référence : Vaccination : A Parent’s Dilemma
www.vaccinationdilemma.com

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Annexe 7 Autres livres intéressants
-Les vaccins n’ont pas fait reculer les épidémies, Pr. F. DELARUE
-La mafia médicale, Dr. G. Lanctôt, Ed. Voici la Clé,
-La dictature médico-scientifique, Sylvie Simon, Ed. Filipacch,
-Vaccination, erreur médicale du siècle, Dr. L. De Brouwer, Ed. Louise Courteau
-Danse avec le diable, G.Schwab, Ed. Courrier du livre,
-Les charlatans de la médecine, C.V. D’AUTREC, Ed. La table ronde
-Au coeur du vivant, J. Bousquet, Ed. St Michel,
-Le malade déchaîné, R. Bickel, Ed. ALTESS.
-Vaccinations : l’Overdose, Sylvie Simon, Ed. Déjà
-Tétanos, le mirage de la vaccination, F. JOET, Ed. Alis
-Pour en Finir avec Pasteur, Dr Eric Ancelet, Ed Marco Pietteur
-La lumière médicale, Dr Norbert Bensaïd, Ed Le Seuil
-Mon enfant et les vaccins, Dr F. Berthoud, Ed Soleil
-On peut tuer ton enfant, Dr P. Chavanon, Ed Médicis
-Les Vérités indésirables- Le cas Pasteur, Ed La Vieille Taupe, 1989
-L’intoxication vaccinale, F. Delarue, Ed Le Seuil, 1977
-La rançon des vaccinations, Simone Delarue, Ed LNPLV 6°Ed, 1988
-Le procès des vaccinations obligatoires, Dr. J. KALMAR – Me J. EYNARD, Avocat Grenoble, 1961
-Pour la liberté, contre l’obligation des vaccinations, Marcel LEMAIRE, 1961
-La santé assassinée, Isabelle ROBARD Avocat Paris, Ed. de l’Ancre
-L’intox, quelques vérités sur vos médicaments, Dr Bruno Donatini, Ed MIF
-Des lobbies contre la santé Roger Lenglet, Ed Syros
-Des enfants sains même sans médecin, Dr R.Mendelsohn, Ed Soleil, 1987
-La poliomyélite, quel vaccin ? quel risque ? Dr Jean Pilette, Ed de l’Aronde, 1997
-La catastrophe des vaccins obligatoires, Pr. TISSOT, Ed. de l’Ouest, 1950
-Les dessous des vaccinations, Dr. SCOHY, Ed. Cheminements
-Vaccinations : le droit de choisir, Dr. F. CHOFFAT, Ed. Jouvence
-Vaccin Hépatite B : Les coulisses d’un scandale, Dr. Marc VERCOUTERE, Ed. Marco Pietteur
-La santé publique en otage, Eric GIACOMETTI, Ed. Albin Michel
-La médecine retrouvée, Dr. Jean ELMIGER, Ed. Léa
-La faillite du BCG, Dr. Marcel FERRU
-Déjà vacciné ? Comment s’en sortir ?, Sylvie SIMON
-Vacciner nos enfants ?, Dr. Françoise BERTHOUD, Ed. Soleil
-Exercice illégal de la guérison, Sylvie SIMON, Ed. Marco Pietteur
-Les vaccinations en question, Me AUTERIVE, Avocat, Paris, Ed. Frison-Roche
-Vaccination, la grande illusion (ouvrage sous forme de B.D.), René BICKEL, 2003
-Vaccinations, je ne serai plus complice, Dr. Jean MERIC, Ed. Résurgence, 2004
-Les vaccins sont des poisons, Dr. Tal SCHALLER, Ed. Vivez Soleil
-Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins, Sylvie SIMON, Ed. DANGLES, 2005
-VACCINS, l’avis d’un médecin holistique, Dr. TAL SCHALLER, Ed. Marco Pietteur, 2006
-Autisme et vaccination : responsable mais non coupable !, Sylvie SIMON, Ed. Trédaniel, 2007
-Vaccins, l’avis d’un avocat : On nous aurait menti ?, Jean-Pierre JOSEPH, Ed. Marco Piétteur, 2008

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Annexe 8 Autres articles intéressants
ZDRODOVSKI & HALAPINE C. , Revue d’Immunologie, t. 2, p. 221-253 ; 1936.
RENDU R. , Le Journal de Médecine de Lyon , p. 351-361 ; 5 mai 1946.
WILSON G.S. , The Hazards of Immunization- University of London, The Athlone Press ; 1967.
WRIGHT E.A.., The Lancet, t. 2, p. 715-723, 1901.
SVENNERHOLM AM. & al., The Journal of Infectious Diseases, t. 143 (5), p. 707-711 ; 1981.
EIBL, M.M.& al. , The New England Journal of Medicine, t. 310 (3), p. 198-199 ; 1984.
ZLABINGER, G.J.&al. , Clinical Immunology and Immunopathology, t. 34, p. 254-262 ; 1985.
PELTOLA H & al. , Pediatrics, t. 60, p. 730-737 ;1977.
GRANOFF DM.& al. , The New England Journal of Medicine, t. 315, p. 1584-1590 ;1986.
SOOD SK.&al. , The Journal of Pediatrics, t. 113, p. 814-819 ; 1988.
MARCHANT C.D. & al. , Pediatric Infectious Diseases Journal, t. 8 (8), p. 508-511 ; 1989.
BASSON E.& al. , Archives de Pédiatrie, t.3 (4) , p. 342-344 ; 1996
PRESCRIRE, t. 5 (147), p.12-14 ;1995
SALMONSEN C.J.& MADSEN T. , cités par Basson
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BLUMBERG DA., Pediatr. Infect. Dis ; J. 1991, Mar. 10 (3) : 247-248
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NAKAYAMA T. , URANO T. , OSANO M. , SASAKI K. , MAKINO S. , PMID : 3143767
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HUSSEY GD. , GODDARD EA. , HUGHES J. , RYON JJ. , J. Infect. Dis. 1996 Jun. 173 (6) : 1320-6
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DANKOVA E. & al. , Cesk Pediatr. 1993 Jan ; 48 (1) 9-12 . Czech. PMID : 8477472 ; UI : 93238311.
DANILIUK O. S. & al. , Bull. Eksp. Biol. Med. , Jul 1982, 94 (7) : 73-74.
EHRLAND W. , Br. Med. J. Mae 11, 1972, 1 : 683.
FATTOM A. , CHO YH, CHU CY., FRIES L . , NASO R. Vaccine, Jan. 1999, 17 (2) : 126-133.
GREEN MS & al. , J. Infect. Dis., 1993 Sep. ; 168 (3) : 740-743.
KUMAR L. & al. , Indian Pediatr. , Jan. 1977, 14 (1) : 69-72.
KOTWAL GJ & al. , Science, Nov. 9 1990, 250 (4982) 827-830

Page 37
Annexe 9
Si vous décidez de vous faire vacciner :
1. Utilisez ceux qui ne contiennent pas de thimérosal ou d’adjuvant
2. Ne vaccinez pas les enfants malades
3. Espacez l'administration des vaccins (n'essayez pas d'inoculer 9 ou 10 micro-
organismes en une seule journée)
4. Donnez à l'enfant de la vitamine A, C, E, Se (multivitamine) avant et après le
vaccin
5. N'administrez pas de vaccins aux enfants allergiques (levure, œufs, antibiotiques)
6. Surveillez la présence de réactions indésirables chez les enfants et, si elles se
produisent, prenez bien soin de les signaler immédiatement
7. Si l'enfant bénéficie déjà d'une immunisation appropriée après la première dose,
ne lui donner pas l'injection de rappel
8. Dr Stéphanie F. Cave, MD : « Exigez la liberté de choisir quels vaccins vos
enfants doivent recevoir »
9. Dr Jean-François Pépin, B.Sc., DC : « Exigez un consentement éclairé et aller
consulter naturopathe, homéopathe, herboriste... » (voir Annexe 4)

Page 38
Annexe 10
Autres maladies infectieuses
Rougeole :
- Avant 1963 : 0.03 cas/100 000 (avait déjà ↓ de 95 % aux USA) (constante après la
vaccination)
- En 1984 : 58 % des personnes atteintes de la rougeole avaient été vaccinées
Rubéole :
- Avant l'introduction du vaccin, 85 % de la population développait une immunité
naturelle, ce qui protégeait aussi les enfants à naître.
- Aux USA, 90 % des obstétriciens et plus des 2 tiers des pédiatres ont refusé d'être
vaccinés contre cette maladie par crainte de réactions imprévisibles
(Journal of the American Medical Association, 20 février 1981)
Coqueluche :
- Décès aux USA avaient déjà ↓ de 82 % avant l'introduction du vaccin
- L'introduction des vaccins n'a eu aucun effet sur la diminution de la mortalité due à
cette maladie
- En 1986, 90% des personnes atteintes avaient été dûment vaccinées
(Vaccine Bulletin, 1987)
Poliomyélite :
- Le nombre de décès avait ↓ de 55 % avant l'introduction du vaccin
- Les pays qui ont refusé d'administrer le vaccin ont connu une ↓ similaire
- Au début des années 60, la définition de la poliomyélite a été modifiée : les symptômes
de paralysie devaient non plus durer 24 heures, mais au moins 60 jours
- Les statistiques ont été manipulées pour donner l'impression que le vaccin était efficace
Dr Jean-François Pépin, B.Sc, DC
Biologiste médicale et chiropraticien
La Vie Chiropratique
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